7 mars 2007

Des fleurs à la surface par Yann Caudal


Un jour, j’ai dit : basting ! à mon cœur qui déraille.

Je ne peux plus faire l’effort de vous servir. Je ne me serais jamais imaginé devenir l’autre que je fuis. Vous comprenez ? Vous vous imaginez autre, peut-être, dans l’éternité du mensonge ? Je vous aimais depuis longtemps. Mais rien. Rien qu’un appui que l’on désigne béquille. Et puis ma face ?
Réponse : « des fleurs à la surface ».
J’ai employé tous les grands maux pour te parer de ma blessure. Je me suis employé à l’écriture comme on attend le signe d’un ami. J’ai cassé la gueule à toutes les putes de mon esprit. Je me suis montré fort. Je me suis déridé comme mon front ; trop glacé, sait-on jamais ? Je puis vous dire que je me suis fais du souci pour moi. En effet, ce que je ressentais pour vous, était à la fois de l’amour et du viol.
Où avais-je la tête ? sans doute dans d’autres aventures…

Un jour, je te dirai, je t’aime....
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