15 avril 2007

Pets de mouche

Que le doux imbécile, dénommé "Nico", persuadé que votre serviteur frime avec sa névrose, joue les gros durs avec sa souffrance et s'empresse d'être malheureux pour être à la mode. Je somme, donc, cette Humble Crotte, dont la critique de mon texte contre le bonheur a dores et déjà surpassé en vitesse, en briéveté et en puissance intellectuelle le dernier pet que la mouche nommée Stirmer a déposé suite au tract anarchiste (pas de moi et qui date de 1890, je le rappelle) de m'envoyer un texte (si par hasard il sait écrire ce dont il est permis de douter mais qui est contre un peu de charité?) dans lequel il signifiera de manière forte, concise et fulgurante la sensation de Joie Pure à opposer à la douleur extrême, l'un n'allant évidemment pas sans l'autre. Avec comme idée de départ : Comment peut-on envisager l'idée de joie sans savoir impliquer celle de la douleur?
Je finirai brièvement en ajoutant que rien ne se crée dans la mièvrerie du "bonheur à tout prix" que semble rechercher ce non-fameux, ou plutôt, cet infâmeux "Nico". La vie et la pensée menaient de manière extra-lucide procurent un instinct de la Vérité qui induit nécessairement un renoncement au bonheur facile et congénitale dont la société regorge. Dans le même temps qu'elles procurent une qualité de joie inédite et viscéralement étrangère à tous les imbéciles qui sont contre "la souffrance" parce qu'ils n'y voient au fond qu'une auto-complaisance narcissique quand il faudrait y voir une nécessité ontologique, couplée avec une probité intellectuelle telle qu'elle oblige à connaître les sommets au même titre que les caves... Mais voici sans doute des nuances qui exigent un travail trop complex au regard du commentaire de "Nico"... Pas grave, la route est longue, camarade...

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